Les sciences sociales françaises forment un acteur structurellement marginal de la pratique de l’évaluation des politiques publiques. C’est dommage pour la santé de notre système démocratique, car celui-ci doit être étudié et jugé autant sur son fonctionnement que sur ses actes et leurs conséquences. Ce livre offre un ensemble non exhaustif d’analyses et de synthèses empiriquement illustrées sur la question de la participation des hommes et des femmes de sciences sociales à des processus concrets d’évaluation de politique.